J'étudie les processus réactionnels qui dictent la mobilité des contaminants dans les écosystèmes, avec une attention spéciale pour les phases nanométriques qui sont les plus mobiles et sont souvent métastables. Je m’intéresse particulièrement aux processus bio-physico-chimiques qui contrôlent leurs transferts aux interfaces sol-plante-atmosphère. J'utilise une démarche multi-échelle (de l’individu au système), pluridisciplinaires (géochimie, biologie et physico-chimie des matériaux) et collaborative (régionale, nationale et internationale) pour mener ces études. Ces compréhensions visent à proposer des solutions pour limiter les impacts néfastes des activités anthropiques sur nos ressources.
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