Une des forces du GET est sa capacité d’intégrer divers moyens d’observation de la Terre. Le GET utilise la combinaison d’observations in situ et spatiales pour ses recherches, par exemple sur la géologie, l’hydrologie continentale, le champ de gravité ou la structure interne de la Terre. Pour ces trois derniers exemples, les méthodes utilisées sont variées (monitoring de bassins versants, méthodes propres à la géodésie, analyse de signaux sismiques), sont appliquées à diverses échelles spatio-temporelles. Dans le cadre des suivis hydrologiques et géochimiques des bassins versants, elles couvrent une large gamme de zones climatiques (des milieux arctiques à la zone équatoriale humide).